LE RETOUR DU VIEUX GRIPSOU
De retour du mariage du Roi Kreol et de Lady Helena, le Fantome de Sparte s’était arrêté dans une auberge sur le bord de la route pour se restaurer et y passer la nuit. Il lui restait une longue route à faire avant de rentrer à Sparte. Aussi, il espérait bien pouvoir se reposer tranquillement et profiter d’un peu de calme pour méditer sur sa vie. En effet, son meilleur ami étant désormais un homme marié, il se posait beaucoup de questions. Devait-il en faire de même ? Cela le sortirait de sa solitude, c’est certain, mais que pourrait-il bien offrir à une femme à part quelques ruines et une vie d’errance ? Il était un fantôme, un rôdeur, pas un homme à marier… Pourtant il rêvait souvent d’une telle vie. Pourquoi tout le monde y aurait droit et pas lui ? Alors qu’il méditait sur le sens de la vie et cherchait des réponses à toutes ses questions, un vieil homme à la longue barbe grise vint soudainement s’asseoir à sa table, sans y avoir était invité.
- Bien le bonsoir Kratos ! déclara-t-il. Comme je suis heureux de te revoir !
Surprit, le Fantome de Sparte sursauta. Le visage du vieil homme ne lui était pas inconnu, loin de là. Mais ce qui le choqua le plus était qu’il connaissait son véritable nom.
- Toi ! s’exclama Fantome méfiant. Espèce de sale ordure ! La dernière fois qu’on s’est vu tu m’as dupé pour me voler le trésor qui me revenait de droit ! Tu mériterais que je te tues sur le champ !
- Oh là ! répondit le vieil homme gêné.
Il posa ses mains sur la table pour montrer qu’il n’était pas armé et qu’il était venu en toute amitié, sans arrière-pensée.
- Inutile de se battre pour ça, dit-il, c’était il y a longtemps. De l’eau a coulé sous les ponts depuis et il ne reste plus une miette du trésor, de toute façon, j’ai tout dépensé…
Le Fantome de Sparte lança un regard noir au vieil homme mais garda son calme. Il avait raison, cette histoire était du passé à présent. Il ne devait plus y penser. Mais cela n’expliquait pas sa présence en ce lieu ni la raison pour laquelle il avait osé le déranger.
- Que me veux-tu et comment connais-tu mon nom ? s’exclama alors Fantome.
- Tu n’es pas aussi fantomatique que tu veux bien le croire, répondit le vieil homme, sinon je ne t’aurai pas retrouvé aussi facilement ici. Quant à mes intentions elles sont simples. Je suis venu te proposer de te joindre à moi pour une aventure…
- Bien le bonsoir Kratos ! déclara-t-il. Comme je suis heureux de te revoir !
Surprit, le Fantome de Sparte sursauta. Le visage du vieil homme ne lui était pas inconnu, loin de là. Mais ce qui le choqua le plus était qu’il connaissait son véritable nom.
- Toi ! s’exclama Fantome méfiant. Espèce de sale ordure ! La dernière fois qu’on s’est vu tu m’as dupé pour me voler le trésor qui me revenait de droit ! Tu mériterais que je te tues sur le champ !
- Oh là ! répondit le vieil homme gêné.
Il posa ses mains sur la table pour montrer qu’il n’était pas armé et qu’il était venu en toute amitié, sans arrière-pensée.
- Inutile de se battre pour ça, dit-il, c’était il y a longtemps. De l’eau a coulé sous les ponts depuis et il ne reste plus une miette du trésor, de toute façon, j’ai tout dépensé…
Le Fantome de Sparte lança un regard noir au vieil homme mais garda son calme. Il avait raison, cette histoire était du passé à présent. Il ne devait plus y penser. Mais cela n’expliquait pas sa présence en ce lieu ni la raison pour laquelle il avait osé le déranger.
- Que me veux-tu et comment connais-tu mon nom ? s’exclama alors Fantome.
- Tu n’es pas aussi fantomatique que tu veux bien le croire, répondit le vieil homme, sinon je ne t’aurai pas retrouvé aussi facilement ici. Quant à mes intentions elles sont simples. Je suis venu te proposer de te joindre à moi pour une aventure…
Le Fantome de Sparte fronça les sourcils. Il dévisagea le vieil homme. Celui-ci semblait sincère.
- Une aventure ? s’exclama Fantome avec incrédulité… Non mais tu te fous de moi, vieillard ! Tu me l’as déjà fait ce coup-là ! Tu me prends pour un con ou quoi ?
Il paraissait particulièrement en colère et sur ses gardes. Suffisamment pour inquiéter quelque peu le vieux Gripsou. Ce dernier tenta de calmer son interlocuteur.
- N’ayes aucune crainte mon ami, je t’assure qu’il ne s’agit aucunement d’un piège. Mon invitation est des plus honnêtes !
- Je ne suis pas ton ami ! décréta Fantome. Et je t’emmerde !
- Certes, répondit le vieil homme avec calme. Mais te lanceras-tu quand-même avec moi dans cette aventure ?
Le Fantome de Sparte fut surprit par cette question. Comment ce vieillard pouvait-il imaginer un seul instant qu’il accepterait de se lancer dans une aventure avec lui ?
- Non ! s’exclama Fantome.
Le vieux Gripsou exprima sa déception par un soufflement. Il baissa quelques instants la tête puis la releva et regarda Fantome dans les yeux.
- Allez ! dit-il. On peut bien s’entreaider entre Spartiates !
- Entre Spartiates ? répéta Fantome sceptique. Parce que tu es un Spartiate toi ?
- Bey oui ! affirma le vieil homme.
Il essayait de paraître sincère mais Fantome ne fut aucunement dupe. Alors, le vieil homme continua dans ses divagations.
- Quand j’étais plus jeune, révéla-t-il, moi aussi j’ai combattu mes ennemis en jupette rouge avec les pectoraux à l’air !
Fantome resta bouche-bée. Le vieil homme avait dit cela avec sérieux comme s’il y croyait. Pourtant, rien de ce qu’il ne disait n'avait de sens.
- Mais tu ne dis vraiment que de la merde ! finit par s’exclamer Fantome.
Le vieux Gripsou n’apprécia pas cette réponse. Il maugréa des paroles inaudibles puis se leva.
- Très bien, dit-il, puisque tu le prends comme ça, je partirai tout seul à l’aventure !
- Ah la bonheur ! répondit Fantome soulagé. Maintenant déguerpis et laisse-moi tranquille !
Le vieil homme lui lança un regard de dédain puis se retourna et s’apprêtait à partir quand la porte de l’auberge s’ouvrit. Un homme en armure et en armes pénétra à l’intérieur de l’établissement. Il était accompagné de deux gardes.
- Une aventure ? s’exclama Fantome avec incrédulité… Non mais tu te fous de moi, vieillard ! Tu me l’as déjà fait ce coup-là ! Tu me prends pour un con ou quoi ?
Il paraissait particulièrement en colère et sur ses gardes. Suffisamment pour inquiéter quelque peu le vieux Gripsou. Ce dernier tenta de calmer son interlocuteur.
- N’ayes aucune crainte mon ami, je t’assure qu’il ne s’agit aucunement d’un piège. Mon invitation est des plus honnêtes !
- Je ne suis pas ton ami ! décréta Fantome. Et je t’emmerde !
- Certes, répondit le vieil homme avec calme. Mais te lanceras-tu quand-même avec moi dans cette aventure ?
Le Fantome de Sparte fut surprit par cette question. Comment ce vieillard pouvait-il imaginer un seul instant qu’il accepterait de se lancer dans une aventure avec lui ?
- Non ! s’exclama Fantome.
Le vieux Gripsou exprima sa déception par un soufflement. Il baissa quelques instants la tête puis la releva et regarda Fantome dans les yeux.
- Allez ! dit-il. On peut bien s’entreaider entre Spartiates !
- Entre Spartiates ? répéta Fantome sceptique. Parce que tu es un Spartiate toi ?
- Bey oui ! affirma le vieil homme.
Il essayait de paraître sincère mais Fantome ne fut aucunement dupe. Alors, le vieil homme continua dans ses divagations.
- Quand j’étais plus jeune, révéla-t-il, moi aussi j’ai combattu mes ennemis en jupette rouge avec les pectoraux à l’air !
Fantome resta bouche-bée. Le vieil homme avait dit cela avec sérieux comme s’il y croyait. Pourtant, rien de ce qu’il ne disait n'avait de sens.
- Mais tu ne dis vraiment que de la merde ! finit par s’exclamer Fantome.
Le vieux Gripsou n’apprécia pas cette réponse. Il maugréa des paroles inaudibles puis se leva.
- Très bien, dit-il, puisque tu le prends comme ça, je partirai tout seul à l’aventure !
- Ah la bonheur ! répondit Fantome soulagé. Maintenant déguerpis et laisse-moi tranquille !
Le vieil homme lui lança un regard de dédain puis se retourna et s’apprêtait à partir quand la porte de l’auberge s’ouvrit. Un homme en armure et en armes pénétra à l’intérieur de l’établissement. Il était accompagné de deux gardes.
- Oh putain ! s’exclama le vieux Gripsou.
Il fit aussitôt demi-tour et se rassit à la table de Fantome.
- Qu’est-ce que tu te fais encore là ? demanda ce dernier intrigué. Je croyais que tu partais pour ton aventure ?
- Chut !!! lui répondit le vieil homme.
Il jeta un regard par-dessus son épaule et aperçut les trois hommes en armes se diriger vers lui. Fantome regarda dans la même direction et les aperçut lui aussi. Il posa instinctivement sa main sur le manche de son couteau.
- Eh merde ! s’exclama le vieux Gripsou préoccupé.
Il se retourna à nouveau vers Fantome et baissa la tête pour se faire discret.
- Des amis à toi ? lui demanda soudain Fantome méfiant.
- Pas vraiment, murmura le vieil homme.
Les trois hommes en armes les rejoignirent rapidement et s’arrêtèrent à côté de leur table. Le chef du groupe dévisagea tour à tour Fantome et Gripsou puis s’attarda longuement sur ce dernier.
- Tiens donc, Gripsou… Je croyais t’avoir dit de ne plus remettre les pieds dans ma ville…
Le vieil homme releva la tête, regarda son interlocuteur et mima la surprise.
- Capitaine Wolp ? dit-il. Ça alors, quel plaisir de vous revoir !
Il esquissa un sourire sur ses lèvres mais le Capitaine Wolp resta froid et impassible.
- Que viens-tu faire ici, manant ? demanda-t-il au vieil homme.
- Eh bien, bafouilla le vieux Gripsou, mon ami et moi-même.
Il désigna Fantome d’un geste de la main. Ce dernier fronça aussitôt les sourcils.
- Nous rendons en pèlerinage à Sparte ! Et nous nous sommes arrêtez ici pour passer la nuit.
Le Capitaine Wolp dévisagea à nouveau le vieux Gripsou, présentant bien qu’il ne lui disait pas la vérité. Fantome en profita alors pour prendre la parole et se défendre.
- Hé oh, moi je ne connais pas ce mec ! dit-il en désignant le vieux Gripsou. Ce n’est pas mon ami et je n’ai que faire de vos histoires…
Le Capitaine Wolp tourna la tête vers lui.
- Ta gueule toi ! ordonna-t-il, je ne t’ai pas causé, gueux.
Il détourna à nouveau le regard vers le vieux Gripsou, sans se douter un seul instant qu’il venait d’insulter l’un des hommes les plus puissants et dangereux de Spica.
- Oh là, s’exclama alors Fantome. On ne va pas s’entendre tous les deux si tu commences à me traiter de gueux !
Le Capitaine Wolp se retourna à nouveau vers Fantome et lui dit avec un air menaçant :
- Je t’ai dit de la fermer connard !
- Connard ? répéta Fantome outré par un tel manque de respect. Tu vas regretter ces paroles !
A peine avait-il dit cela qu’il se leva, s’empara de son couteau et l’enfonça dans la gorge du Capitaine Wolp. Ce dernier n’eut même pas le temps de réagir. Il gémit et s’écroula au sol sous les regards apeurés et ahuris des deux gardes qui l’accompagnaient et des autres clients de la taverne. Seul le vieux Gripsou semblait soulagé et content. Les deux autres gardes finirent par sortir leurs épées et menacer Fantome. Ce dernier se tourna ensuite vers eux et leur cria :
- Qu’est-ce que vous voulez vous tous les deux ? Mourir ? Je peux arranger ça !
Il sortit à son tour son épée et s’élança sur les deux gardes, fou de rage.
Il fit aussitôt demi-tour et se rassit à la table de Fantome.
- Qu’est-ce que tu te fais encore là ? demanda ce dernier intrigué. Je croyais que tu partais pour ton aventure ?
- Chut !!! lui répondit le vieil homme.
Il jeta un regard par-dessus son épaule et aperçut les trois hommes en armes se diriger vers lui. Fantome regarda dans la même direction et les aperçut lui aussi. Il posa instinctivement sa main sur le manche de son couteau.
- Eh merde ! s’exclama le vieux Gripsou préoccupé.
Il se retourna à nouveau vers Fantome et baissa la tête pour se faire discret.
- Des amis à toi ? lui demanda soudain Fantome méfiant.
- Pas vraiment, murmura le vieil homme.
Les trois hommes en armes les rejoignirent rapidement et s’arrêtèrent à côté de leur table. Le chef du groupe dévisagea tour à tour Fantome et Gripsou puis s’attarda longuement sur ce dernier.
- Tiens donc, Gripsou… Je croyais t’avoir dit de ne plus remettre les pieds dans ma ville…
Le vieil homme releva la tête, regarda son interlocuteur et mima la surprise.
- Capitaine Wolp ? dit-il. Ça alors, quel plaisir de vous revoir !
Il esquissa un sourire sur ses lèvres mais le Capitaine Wolp resta froid et impassible.
- Que viens-tu faire ici, manant ? demanda-t-il au vieil homme.
- Eh bien, bafouilla le vieux Gripsou, mon ami et moi-même.
Il désigna Fantome d’un geste de la main. Ce dernier fronça aussitôt les sourcils.
- Nous rendons en pèlerinage à Sparte ! Et nous nous sommes arrêtez ici pour passer la nuit.
Le Capitaine Wolp dévisagea à nouveau le vieux Gripsou, présentant bien qu’il ne lui disait pas la vérité. Fantome en profita alors pour prendre la parole et se défendre.
- Hé oh, moi je ne connais pas ce mec ! dit-il en désignant le vieux Gripsou. Ce n’est pas mon ami et je n’ai que faire de vos histoires…
Le Capitaine Wolp tourna la tête vers lui.
- Ta gueule toi ! ordonna-t-il, je ne t’ai pas causé, gueux.
Il détourna à nouveau le regard vers le vieux Gripsou, sans se douter un seul instant qu’il venait d’insulter l’un des hommes les plus puissants et dangereux de Spica.
- Oh là, s’exclama alors Fantome. On ne va pas s’entendre tous les deux si tu commences à me traiter de gueux !
Le Capitaine Wolp se retourna à nouveau vers Fantome et lui dit avec un air menaçant :
- Je t’ai dit de la fermer connard !
- Connard ? répéta Fantome outré par un tel manque de respect. Tu vas regretter ces paroles !
A peine avait-il dit cela qu’il se leva, s’empara de son couteau et l’enfonça dans la gorge du Capitaine Wolp. Ce dernier n’eut même pas le temps de réagir. Il gémit et s’écroula au sol sous les regards apeurés et ahuris des deux gardes qui l’accompagnaient et des autres clients de la taverne. Seul le vieux Gripsou semblait soulagé et content. Les deux autres gardes finirent par sortir leurs épées et menacer Fantome. Ce dernier se tourna ensuite vers eux et leur cria :
- Qu’est-ce que vous voulez vous tous les deux ? Mourir ? Je peux arranger ça !
Il sortit à son tour son épée et s’élança sur les deux gardes, fou de rage.
Les flottes suivantes se sont affrontées le : 2017-09-09 22:43:24
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte [KNIGHTS]
160% | 150% | 160%
G.transp. 5.000
Croiseur 10.000
V.bataille 5.000
Sonde 1
Destro. 2.000
Traqueur 4.000
VS
Défenseur Wolp [S2M]
120% | 120% | 150%
P.transp. 141
G.transp. 7.963
V.colo 7
Recycleur 9
Sonde 84
Rip 6
Missile 76.187
Lanc.plasma 321
- Spoiler:
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
160% | 150% | 160%
G.transp. : 5.000
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
160% | 150% | 160%
Destro. : 2.000
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
160% | 150% | 160%
Traqueur : 4.000
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
160% | 150% | 160%
Croiseur : 10.000
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
160% | 150% | 160%
V.bataille : 5.000
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
160% | 150% | 160%
Sonde : 1
Défenseur Wolp
120% | 120% | 150%
P.transp. 141
G.transp. 7.963
V.colo 7
Recycleur 9
Sonde 84
Rip 6
Missile 76.187
Lanc.plasma 321
Attaquant Le_Fantome_De_Sparte
G.transp. 4.002 (-998)
Croiseur 9.303 (-697)
V.bataille 4.777 (-223)
Destro. 1.957 (-43)
Traqueur 3.843 (-157)
VS
Défenseur Wolp
Détruit
L'attaquant a remporté la bataille ! Il emporte
29.776.815 unités de métal, 3.972.717 unités de cristal et 20.932.708 unités de deutérium
L`attaquant a perdu au total 64.290.000 unités.
Le défenseur a perdu au total 350.750.000 unités.
Un champ de débris contenant 34.641.900 de métal et 28.494.300 de cristal se forme dans l'orbite de la planète.
Les 3.500 recycleurs de Le_Fantome_De_Sparte récoltent 34.641.900 de métal et 28.494.600 de cristal
=> 100 %
Bénéfice de l'attaquant : 53.528.740
Métal : 27.165.715 | Cristal : 9.824.317 | Deut : 16.538.708
Bénéfice du defenseur : -269.559.440
Métal : -158.524.015 | Cristal : -81.125.717 | Deut : -29.909.708
Consommation estimée : 2.588.203 deut
Skin : fantome de sparte by juien
Converted by TopRaider.eu[/size
Fantome essuya son épée avec une serviette et la rangea dans son fourreau. A ses pieds, gisaient les corps sans vie et ensanglantés du Capitaine Wolp et de ses hommes. Tous les clients de l’auberge avaient les yeux rivaient vers lui, tremblants et choqués.
- Je suis le Fantome de Sparte et le Grand Maître des Chevaliers de Spica ! cria ce dernier à leur attention. Je ne laisserai personne m’insulter de gueux ou de connard !
Les clients restèrent bouche-bée puis la plupart retournèrent vaquer à leurs occupations en oubliant bien vite la scène dont ils venaient d’être témoins.
- Voilà ! s’exclama joyeusement le vieux Gripsou.
Fantome tourna la tête vers lui, le regard interrogateur.
- C’est pour ce genre de choses que j’ai besoin de toi à mes côtés pour cette aventure, déclara le vieil homme. Ensemble, rien ni personne ne nous pourra nous arrêter ! Nous formerons ainsi un duo comme Spica n’en a jamais vu !
- J’ai déjà dit que je n’étais pas intéressé ! décréta Fantome.
Des cris retentirent soudain depuis l’extérieur de la taverne. Quelqu’un avait dû informer la garde de la ville du grabuge qui s’était déroulait dans la taverne. Nul doute que l’endroit grouillerait bientôt de plusieurs dizaines de gardes armés jusqu’aux dents.
- Viens mon ami, dit alors le vieux Gripsou à l’attention de Fantome, nous devons partir avant que d’autres gardes n’arrivent.
- Je ne suis pas ton ami ! s’exclama à nouveau Fantome exaspéré.
- Peut-être, répondit le vieil homme, mais nous devons partir quand même.
Le vieux Gripsou et le Fantome de Sparte quittèrent alors la taverne en toute discrétion et en pleine nuit. Ils devaient quitter la ville au plus vite. Dorénavant, leur sort était lié. Quant à cette aventure dans laquelle le vieil homme tenait tant à entrainer Fantome, il vous faudra attendre le prochain épisode pour la découvrir…
- Je suis le Fantome de Sparte et le Grand Maître des Chevaliers de Spica ! cria ce dernier à leur attention. Je ne laisserai personne m’insulter de gueux ou de connard !
Les clients restèrent bouche-bée puis la plupart retournèrent vaquer à leurs occupations en oubliant bien vite la scène dont ils venaient d’être témoins.
- Voilà ! s’exclama joyeusement le vieux Gripsou.
Fantome tourna la tête vers lui, le regard interrogateur.
- C’est pour ce genre de choses que j’ai besoin de toi à mes côtés pour cette aventure, déclara le vieil homme. Ensemble, rien ni personne ne nous pourra nous arrêter ! Nous formerons ainsi un duo comme Spica n’en a jamais vu !
- J’ai déjà dit que je n’étais pas intéressé ! décréta Fantome.
Des cris retentirent soudain depuis l’extérieur de la taverne. Quelqu’un avait dû informer la garde de la ville du grabuge qui s’était déroulait dans la taverne. Nul doute que l’endroit grouillerait bientôt de plusieurs dizaines de gardes armés jusqu’aux dents.
- Viens mon ami, dit alors le vieux Gripsou à l’attention de Fantome, nous devons partir avant que d’autres gardes n’arrivent.
- Je ne suis pas ton ami ! s’exclama à nouveau Fantome exaspéré.
- Peut-être, répondit le vieil homme, mais nous devons partir quand même.
Le vieux Gripsou et le Fantome de Sparte quittèrent alors la taverne en toute discrétion et en pleine nuit. Ils devaient quitter la ville au plus vite. Dorénavant, leur sort était lié. Quant à cette aventure dans laquelle le vieil homme tenait tant à entrainer Fantome, il vous faudra attendre le prochain épisode pour la découvrir…
A suivre…