FONT FONT et BEAST : POLICE SPICAENNE
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FONT FONT et BEAST : POLICE SPICAENNE
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Re: FONT FONT et BEAST : POLICE SPICAENNE
EPISODE I : LA TRAQUE
LEON marchait dans les rues de SPICA, au milieu de centaines de passants indifférents qui ne se doutaient pas un seul instant du danger qui les guettait. Car l’homme n’était autre que le tueur sanguinaire qui défrayait les journaux et qui était recherché par toutes les polices de la ville depuis des mois… Le visage dissimulé sous un bonnet et derrière des lunettes de soleil noires, LEON passait facilement inaperçu au milieu de cette foule anonyme. Et puis si jamais sa couverture venait à être démasquée, le tueur n’aurait qu’à faire ce pourquoi il était né, tuer tous les témoins gênants et tous ceux qui tenteraient de l’empêcher de fuir… Mais pour l’heure, l’homme avait une mission à accomplir, ou plutôt un nouveau meurtre. Un contrat suffisamment bien payé pour justifier le fait qu’il prenne quelques risques avec sa propre sécurité… Voilà pourquoi LEON se retrouvait à marcher dans cette rue, au milieu des passants…
Au même moment, à l’autre bout de la ville, les inspecteurs FONT FONT et BEAST de la Brigade Criminelle étaient en train d’analyser une scène de crime. Un meurtre violent et sanglant y avait été commis un peu plus tôt dans la journée. Les indices retrouvés sur place ne laissaient aucun doute sur l’identité du tueur : LEON…
- Bon sang ! s’exclama l’inspecteur FONT FONT. Encore un mort à attacher au tableau de chasse de ce fou furieux…
- Et cette fois il n’y est pas allé de main morte, surenchérit l’inspecteur BEAST.
Ce dernier désigna d’un geste de la main les traces de violences qu’avait subies la victime avant d’être exécuter.
- On dirait qu’il s’est acharné contre lui, comme s’il lui en voulait personnellement, ajouta BEAST.
- Si c’est le cas, répondit FONT FONT, on a peut-être une chance de l’identifier enfin !
Les deux inspecteurs se relevèrent et s’échangèrent un dernier regard empreint d’espoir.
- Bon sang ! s’exclama l’inspecteur FONT FONT. Encore un mort à attacher au tableau de chasse de ce fou furieux…
- Et cette fois il n’y est pas allé de main morte, surenchérit l’inspecteur BEAST.
Ce dernier désigna d’un geste de la main les traces de violences qu’avait subies la victime avant d’être exécuter.
- On dirait qu’il s’est acharné contre lui, comme s’il lui en voulait personnellement, ajouta BEAST.
- Si c’est le cas, répondit FONT FONT, on a peut-être une chance de l’identifier enfin !
Les deux inspecteurs se relevèrent et s’échangèrent un dernier regard empreint d’espoir.
De son côté, LEON était parvenu à pénétrer dans l’appartement de sa prochaine cible : un trafiquant de drogue du nom de RAUL GONZALES, le frère de l’homme qu’il venait d’abattre un peu plus tôt dans la journée… Pointant son arme dans la bouche du trafiquant, LEON s’adressa à lui une dernière fois avant de l’éliminer.
- Dis-moi où tu as caché ton magot !
- Va te faire voire enculé ! hurla le trafiquant au bord de la crise de nerf.
- Ton frère aussi pensait pouvoir garder le silence, déclara froidement LEON, jusqu’à ce qu’il parle !
- Quoi ? s’énerva aussitôt RAUL. Qu’est-ce-que t’a fait à mon frangin ? ! Espèce d’enculé !
LEON donna un violent coup de crosse sur le visage du trafiquant. Il n’aimait pas que les gens soient grossiers avec lui.
- Ton frère est mort ! déclara LEON. Et c’est ce qui va t’arriver si tu ne me dis pas où tu as caché l’argent du PARRAIN !
- Va chier enfoiré ! Tu as tué mon frère !
RAUL s’agitait dans tous les sens en essayant de frapper LEON. Ce dernier baissa alors son arme et tira dans la jambe du trafiquant. L’homme hurla de douleur et s’écroula à moitié sur le sol.
- Espèce de salaud ! cria RAUL. Tu m’as tiré dessus !
- Et je recommencerai si tu ne me dis pas ou tu as caché l’argent, promis LEON, impassible devant la douleur de son interlocuteur.
L’homme hurla à nouveau puis répondit enfin :
- D’accord ! Je vais te le dire ! L’argent est à la banque Golden Wales, coffre 565 !
LEON regarda l’homme dans les yeux afin de s’assurer qu’il disait vrai puis il pointa à nouveau son arme sur lui et l’acheva d’une balle à pleine tête après l’avoir remercié pour sa coopération… Une fois cette tâche accompli, il ne restait plus à LEON qu’à se rendre à la banque pour y récupérer l’argent volé au PARRAIN… Mais alors que le tueur allait quitter l’appartement, il aperçut à travers la fenêtre, des policiers en train de verrouiller le quartier…
- Dis-moi où tu as caché ton magot !
- Va te faire voire enculé ! hurla le trafiquant au bord de la crise de nerf.
- Ton frère aussi pensait pouvoir garder le silence, déclara froidement LEON, jusqu’à ce qu’il parle !
- Quoi ? s’énerva aussitôt RAUL. Qu’est-ce-que t’a fait à mon frangin ? ! Espèce d’enculé !
LEON donna un violent coup de crosse sur le visage du trafiquant. Il n’aimait pas que les gens soient grossiers avec lui.
- Ton frère est mort ! déclara LEON. Et c’est ce qui va t’arriver si tu ne me dis pas où tu as caché l’argent du PARRAIN !
- Va chier enfoiré ! Tu as tué mon frère !
RAUL s’agitait dans tous les sens en essayant de frapper LEON. Ce dernier baissa alors son arme et tira dans la jambe du trafiquant. L’homme hurla de douleur et s’écroula à moitié sur le sol.
- Espèce de salaud ! cria RAUL. Tu m’as tiré dessus !
- Et je recommencerai si tu ne me dis pas ou tu as caché l’argent, promis LEON, impassible devant la douleur de son interlocuteur.
L’homme hurla à nouveau puis répondit enfin :
- D’accord ! Je vais te le dire ! L’argent est à la banque Golden Wales, coffre 565 !
LEON regarda l’homme dans les yeux afin de s’assurer qu’il disait vrai puis il pointa à nouveau son arme sur lui et l’acheva d’une balle à pleine tête après l’avoir remercié pour sa coopération… Une fois cette tâche accompli, il ne restait plus à LEON qu’à se rendre à la banque pour y récupérer l’argent volé au PARRAIN… Mais alors que le tueur allait quitter l’appartement, il aperçut à travers la fenêtre, des policiers en train de verrouiller le quartier…
A l’extérieur, les inspecteurs FONT FONT et BEAST se tenaient debout derrière leur véhicule en compagnie du chien policier de FONT FONT, ZLATAMOUVICH ! Les armes en mains, ils étaient prêts à intervenir à tout moment. Autour d’eux, des policiers du SWAT se mettaient également en position.
- Cette fois on y est ! s’exclama FONT FONT. L’immeuble est encerclé ! Il ne pourra pas nous échapper !
- Depuis le temps qu’on le traquait, surenchérit BEAST. Heureusement que le mort dans la ruelle était fiché, tout comme son frère, RAUL GONZALES…
- Oui, admit FONT FONT. Cette fois LEON a commis une grosse erreur en laissant autant de traces derrière lui.
L’homme se tourna ensuite vers un autre policier et lui emprunta un mégaphone qu’il utilisa pour s’adresser directement eu tueur traqué :
- LEON ! appela-t-il.
Sa voix résonna dans tout le quartier.
- Ici l’inspecteur FONT FONT de la Brigade Criminelle de SPICA ! L’immeuble est encerclé ! Rendez-vous !
A l’intérieur de l’immeuble, LEON observait silencieusement les policiers depuis la fenêtre de l’appartement de RAUL GONZALES. L’inspecteur FONT FONT disait vrai : l’immeuble était encerclé. Le tueur n’avait aucun moyen de fuir mais il était hors de question qu’il se laisse prendre en vie et qu’il mette ainsi en danger la sécurité du PARRAIN ! L’homme brisa alors la fenêtre et se mit à tirer sur les policiers, sans la moindre hésitation. Ces derniers ripostèrent…
- Cette fois on y est ! s’exclama FONT FONT. L’immeuble est encerclé ! Il ne pourra pas nous échapper !
- Depuis le temps qu’on le traquait, surenchérit BEAST. Heureusement que le mort dans la ruelle était fiché, tout comme son frère, RAUL GONZALES…
- Oui, admit FONT FONT. Cette fois LEON a commis une grosse erreur en laissant autant de traces derrière lui.
L’homme se tourna ensuite vers un autre policier et lui emprunta un mégaphone qu’il utilisa pour s’adresser directement eu tueur traqué :
- LEON ! appela-t-il.
Sa voix résonna dans tout le quartier.
- Ici l’inspecteur FONT FONT de la Brigade Criminelle de SPICA ! L’immeuble est encerclé ! Rendez-vous !
A l’intérieur de l’immeuble, LEON observait silencieusement les policiers depuis la fenêtre de l’appartement de RAUL GONZALES. L’inspecteur FONT FONT disait vrai : l’immeuble était encerclé. Le tueur n’avait aucun moyen de fuir mais il était hors de question qu’il se laisse prendre en vie et qu’il mette ainsi en danger la sécurité du PARRAIN ! L’homme brisa alors la fenêtre et se mit à tirer sur les policiers, sans la moindre hésitation. Ces derniers ripostèrent…
(Inclure le RC ici)
LEON était allongé, mourant, sur le sol de l’appartement de RAUL GONZALES. Malgré sa folie furieuse et sa brutalité, il n’avait pas réussi à se défaire de ses ennemis. Les inspecteurs FONT FONT et BEAST se tenaient debout auprès du tueur qu’ils traquaient depuis des mois et qu’ils étaient enfin parvenus à neutraliser pour le bien de la population de SPICA… Ils tentèrent d’interroger le tueur sur ses motivations mais celui-ci préféra garder le silence jusqu’à la fin… Jamais il ne trahirait le PARRAIN, même au seuil de la mort !!!
Désormais mort, LEON ne représentait plus aucune menace pour les honnêtes citoyens, mais l’enquête des inspecteurs FONT FONT et BEAST était loin d’être terminée. Il leur restait en effet à comprendre le pourquoi et le pour qui… Pour quoi LEON avait-il commis tous ces meurtres et pour le compte de qui les avait-il commis ? Nos deux inspecteurs n’étaient pas prêts de se reposer…
Désormais mort, LEON ne représentait plus aucune menace pour les honnêtes citoyens, mais l’enquête des inspecteurs FONT FONT et BEAST était loin d’être terminée. Il leur restait en effet à comprendre le pourquoi et le pour qui… Pour quoi LEON avait-il commis tous ces meurtres et pour le compte de qui les avait-il commis ? Nos deux inspecteurs n’étaient pas prêts de se reposer…
A suivre...
Seth- Commandeur
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Re: FONT FONT et BEAST : POLICE SPICAENNE
Jolie RP Arya j aime te lire continue comme ca .
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